Ce qui reste de nos vies n'est pas un livre très long, mais il me l'a paru.
Ecriture alambiquée, ce n'est pas fluide, l'histoire devrait toucher, mais elle ennuie surtout.
Ce livre raconte l'histoire d'Hemda Horovitch, en train de mourir à l'hôpital de Jérusalem.
Se répondent en miroir des scènes de flash backs de sa vie - son enfance au kibboutz avec un père très dur, peu donneur d'amour, un mariage sans amour, des enfants, une fille et un garçon, avec une fille qu'elle a du mal à aimer, Une vie sans vraiment d'amour donc - et des scènes actuelles de ses enfants qui la veillent.
Le livre a bien été ajouté au panier
Ce qui reste de nos vies - Prix Femina étranger 2014